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LA CONDITION DE L’ENFANT DANS L’ENFANT NOIR DE CAMARA LAYE

Format: MS WORD  |  Chapter: 1-5  |  Pages: 63  |  4124 Users found this project useful  |  Price NGN5,000

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LA CONDITION DE L’ENFANT DANS L’ENFANT NOIR DE CAMARA LAYE

 

INTRODUCTION

Un grand nombre d’enfants aujourd’hui ne connaissent que la misère et l’abus. L’enfant lutte pour sa survie contre la faim et la malnutrition. L’analphabétisme pose un problème à l’enfant africain. La plupart des enfants africains ne savent ni lire ni écrire. Leurs parents, en tant que paysans, n’ont ni les moyens ni le désir de les envoyer à l’école. Or, l’expérience a montré que la plupart des enfants qui manquent du soin familial deviennent délinquants. La délinquance juvénile expose l’enfant aux crimes divers comme le vol et le viol. Il y en a qui se tourment vers la mendicité ou le parasitisme, devenant donc une menace pour la société. Le plus souvent, ils se mettent à coté de la route et, mendient auprès des automobilistes, ils font semblant de réparer les nids-de-poule qui caractérisent la plupart des routes africains. Au cours de ces actes ils subissent parfois des accidents.

Les mauvais traitements constituent également un problème qui met en danger l’avenir des enfants africains. Cet abus est accentué par les crises politiques qui secouent les pays africains. Pendant que les uns sont envoyés au front comme combattants, les autres sont employés et payés par certains afin de participer aux manifestations socials et politiques. Notons encore que dans certains pays, on fait des enfants, des porteurs et des trafiquants de drogue, des prostituées ou des esclaves. Dans le foyer familial, des enfants sont chargés de trop de responsabilités. Le plus souvent ces enfants passent de longues heures au marché sans avoir assez à manger. Ils sont parfois exposés aux risques de nos jours. Certains enfants sont enlevés et massacrés pour des sacrifices rituels. Tous ces abuses n’ont fait qu’aggraver la condition et le développement de l’enfant africain.

Les maladies infantiles jouent également contre la survie de l’enfant africain. Malgré les efforts des organismes comme le Fonds des Nations Unies pour l’Enfance (Unicef) et l’Organisation Mondial de la Santé (O M S) pour intensifier la vaccination des enfants et l’éducation sanitaire, on trouve que certaines maladies infantiles existent toujours, surtout dans  les zones rurales. Il faut signaler que beaucoup de familles tiennent encore aux médicaments traditionnels qui bien souvent, ne sont pas efficaces pour certaines maladies. Il est évident que l’ignorance et la pauvreté des parents constituent aussi un problème à la santé de l’enfant. Voici pourquoi il est toujours victime des maladies infantiles telles que la diarrhée, la coqueluche, la rougeole et la polio déjà extirpées dans les pays développés du monde.

Pour Lynn M (2001 : 96-98) :

Dans les sociétés traditionnelles africaines, on voyait dans la grande famille un avantage économique. C’est la coutume des anciens d’avoir de nombreux enfants qui pourraient être héritiers de leurs métiers et qui pourraient les aider dans leurs champs. A cette époque-là, il était facile de pourvoir aux besoins des enfants et de les nourrir. De nos jours, beaucoup de familles, surtout celles qui vivent dans les zones rurales tiennent encore à cette tradition et désirent la conserver par opposition à ce qui se passait auparavant, l’enfant africain d’aujourd’hui ne jouit plus d’une sécurité totale. On trouve que sa sécurité disparait peu à peu. Non seulement il est exposé aux risques de la vie moderne mais il devient aussi victime de la mauvaise économie des pays africains.

Cette condition pitoyable de l’enfant africain demande en effet des solutions immédiates et durables car chaque génération est un nouveau peuple. Les gouvernements des pays africains doivent prendre des mesures urgentes pour secourir l’enfant africain. Comme la santé est indispensable à la vie d’une nation, les autorités, avec la collaboration des organismes internationaux tels l’OMS et l’Unicef doivent entreprendre une vaccination totale et gratuite des enfants et des mères contre les maladies. Les autorités doivent également fournir des médicaments gratuits aux hôpitaux gouvernement et des infrastructures sociales comme l’eau potable à toutes les communautés rurales.

En ce qui concerne les grandes familles, les autorités doivent intensifier les démarches en faveur du planning familial en langue locale, à la radio et à la télévision. Ainsi, le problème de la délinquance juvénile et de l’enfance maltraité sera réduit au minimum. Pour surmonter le problème de la faim et de la malnutrition, les gouvernements des pays africains doivent encourager et intensifier l’agriculture. En tant que futurs leaders et pour sauvegarder l’avenir des enfants, la scolarisation de tous les enfants urbains et ruraux doit être gratuite et obligatoire. Puisque l’éducation est la clé du développement, ces enfants en devenant adultes pourraient participer activement au développement économique, social, politique et culturel de leur société. En bref, le grand nombre de chômeurs et de bandits sera assurément réduit. En dépit des difficultés rencontrées par la plupart des enfants africains, des organismes humanitaires tels que l’Unicef et l’OMS sont de plus en plus déterminés à améliorer leur condition de la vie. Ainsi l’OUA a dédié le 16 juin de chaque année à l’enfant africain. C’est un jour non seulement pour commémorer la mort des enfants de Soweto en 1976 mais ainsi pour sensibiliser le peuple africain au sort de l’enfant africain afin de lui assurer une meilleure condition de vie. Selon Chronique (www.sonoma.edu:2/1/2011):

L’Enfant Noir est un livre intemporel plein de finesse et de talent qui s’est imposé comme l’un des classiques de talent qui s’est imposé comme l’un des classiques de notre temps. Récompensé en 1954 du prix Charles Veillon, L’Enfant Noir fait partie de ces œuvres africaines qui ont échappé au thème de la colonisation vue comme acculturation volontaire ou forcée par de nombreux auteurs. Camara Laye nous livre tout simplement la vie d’un enfant africain qui, un peu malgré lui, s’éloigné peu à peu des valeurs, des traditions du peuple auquel il appartient.

Le personnage principal de l’œuvre commence sa vie à Kouroussa, une petite ville de Guinée-Conakry ou il partage la case de sa mère. La concession de son père, dans laquelle il vit, fourmille d’activités diverses ; Camara est donc très tôt en contact avec la vie de la petite communauté à laquelle il s’appartenir. Fils du forgeron le plus réputé de la ville, il est baigné dans un univers un peu mystique et il apprend tôt que les objets, les animaux, les personnages ne sont pas toujours ce qu’ils ont l’air d’être. Ses premières années, il apprend par exemple à reconnaitre le serpent noir qui représente le tôtem de son père et à ne pas s’étonner que sa mère puisse d’une simple injonction rendre docile un cheval récalcitrant.

Il passe aussi beaucoup de temps à Tindican, le village de sa mère, ou il retrouve sa grand-mère, ses oncles et aussi ses petits camarades de la ville. A l’école, comme beaucoup de ses camarades, il subit les brimades des élevés de la grande classe, ceux qui doivent passer le certificat d’études, jusqu’au jour ou son père décide d’intervenir. Au chapitre un, nous allons voir la vie et œuvres de Camara Laye, comment il a commence sa vie à Kouroussa, une petite ville de Guinée-Conakry ou il partage la case de sa mère. La concession de son père, dans laquelle il vit, fourmille d’activités diverses ; le petit Camara est donc très tôt en contacts avec la vie de la petite communauté à laquelle il appartient. Fils du forgeron le plus réputé de la ville, il est baigné dans un univers un peu mystique et il apprend très tôt que les objets, les animaux, les personnes ne sont pas toujours ce qu’ils ont l’air d’être. Ses premières années, il apprend par exemple à reconnaitre le serpent noir qui représenté le totem de son père et à ne pas s’étonner que sa mère puisse d’une simple injonction rendre docile un cheval récalcitrant.

Il passe aussi beaucoup de temps a Tindican, le village de sa mère, ou il retrouve sa grand-mère, ses élèves et aussi ses petit camarades de jeux. A l’école, comme beaucoup de ses camarades il subit les brimades des élèves de la grande-classe.Camara poursuit alors une scolarité sans histoire et passe sans problème ni surprise son certificat d’études. Camara Laye est ne en 1928 en Guinée et il est décédé en 1980 au Sénégal. Les œuvres de Camara Laye terminé le chapitre. Au chapitre deux, nous allons voir la culture africain et l’enfant, l’acculturation de l’enfant, naissance à la vie de l’homme et l’éducation de l’enfant considéré comme les conditions favorables à l’enfant dans l’Enfant Noir. Le dernier chapitre consiste dès les conditions infavorables à l’enfant dans l’Enfant Noir ; l’épreuve d’initiation d’enfant, l’épreuve de la circoncision d’enfant, les brimades des élèves de la grande classe a l’enfant, la mort infantile et la moquerie universelle des filles.

 

CHAPITRE UN

PRESENTATION DE L’ENFANT NOIR

Vie et œuvre de Camara Laye

Camara Laye est un écrivain guinéen, il est n é à Kouroussa, dans un village de Haute-Guinée, le 1er janvier 1928. Après des études à l’école française, il part à Conakry, la capitale de la Guinée pour  poursuivre ses é tudes. Titulaire d’un C.A.P de mécanicien, il tente sans succès de devenir ingénieur en France. C’est alors que Camara Laye, qui traverse une période de désaéroi, publie L’Enfant Noir, son premier roman, en 1955 et un en plus tard, le Regard du Roi. En 1956, à l’époque où la Guinée s’apprête à devenir indépendante, il retourne à Conakry et, jusqu’en 1963 il occupe des fonctions importantes au ministère de l’information avant de s’exiler définitivement au Sénégal devant la dérive dictatoriale de Sékou Touré qu’il dénoncera en 1966 dans Dramouesse, son dernier roman. Il est aussi l’auteur du Maitre de la parole un recueil de contes griots qui retrace la génèse du Mali. Camara Laye est né en 1928 en Guinée et il est décédé en le 4 février 1980 à Dakar au Sénégal. Adapté de : Camara Laye (1954) L’Enfant Noir.

1.2     L’Enfant Noir

L’enfant qui fait l’objet du titre de l’ouvrage nous est présenté pour la première fois sous le signe du serpent, l’animal totem de son père et du clan des forgeons. Outre la description des lieux de son enfance la concession, l’atelier du père, la case de la mère, celle du père et de la véranda alternante où il aime a jouer, évoque la lente initiation de l’enfant aux significations du serpent, animal dangereux sauf à en adopter, comme son père, le bon spécimen le petit serpent noir que caresse son père est l’animal totem du clan des forgerons, dont l’enfant se demande s’il héritera, on s’il lui préféra le chemin de l’école. Une femme ayant besoin d’un nouveau bijou pour une fête religieuse arrive chez le père du narrateur, qui  est bijoutier, avec un griot qui est censé inspirer l’artisan. Suivant les exigences rituelles, le père s’est purifié le matin même, prévenu par son génie de la tache qu’il aurait à accomplir ce jour-la. L’enfant apprécie la transformation quasi magique de l’or en bijou s’émerveille devant le spectacle elle aussi, mais la mère du narrateur ne partage pas l’admiration de celle-ci, croyant au contraire que le travail de l’or ne peut que nuire à la santé de son mari.

La visite à la concession son oncle Lansana représenté un moment privilégié pour l’enfant, qui fait le voyage de Kouroussa à Tindican accompagné du frère cadet de celui-ci. Ce voyage se caractérise par des dialogues enjoués qui aident l’enfant à supporter la difficulté de marcher si longtemps et finit par l’accueil de l’enfant par sa grand-mère. L’enfant passe son  séjour à Tindican à bien manger, à jouer avec les autres enfants, et à aider ceux-ci à chasser les oiseaux et les autres bêtes du champ. Le narrateur se distingue des autres enfants par ses habits d’écolier. La journée se termine par un repas de famille ou Lansana, enfin rentré des champs, se montre bienveillant vis-à-vis du petit.

La moisson du riz du mois de décembre est un effort communautaire puisque toutes les familles font la récolte générale le même jour. Les hommes sont responsables de la moisson proprement dite ; les femmes, de leur côté, sont responsables de nourrir les travailleurs et les enfants. La moisson est présentée comme un événement joyeux  que la communauté participe avec allégresse, chantant et travaillant au rythme du tam-tam. Quant au narrateur, il participe à la moisson  en aidant son jeune oncle. Son travail consiste à prendre les bolets d’épis récoltées par son oncle, de les débarrasser de leur tige.

On apprend que revenu à Kouroussa, le narrateur demeure chez sa mère, à la différencee de ses frères et sœurs, qui dormaient chez leur grand-mère paternelle. (C’est dans ce chapitre que) le narrateur nous fait le portrait de sa mère, une femme généreuse qui est chargée de la préparation de la nourriture, de l’éducation des enfants. Elle traite les apprentis de son mari comme ses propres enfants elle les nourrit et s’occupe de tous leurs besoins. Cette femme se distingue non seulement par sa naissance noble et son air d’autorité mais surtout par ses pouvoirs spéciaux qui lui viennent de sa position de jumeaux et du totem familial, le crocodile. Elle a une influence remarquable sur les animaux et peut puiser dans l’eau du Niger sans craindre d’etre attaquée l’altaïque des crocodiles. Le narrateur apprécie les prodiges effectues son point de vue adulte, leur nature fabuleuse.

Le narrateur fréquente l’école coranique et plus tard, l’école française. Dans l’une comme dans l’autre. Les rapports entre filles et garçons se caractérisent par la moquerie universelle. Cependant le narrateur développe un rapport déférent avec Fanta l’amie de sa sœur. C’est le maitre d’école qui représente l’autorité, faisant régner le silence et ayant recours aux punitions corporelles. Les enfants pour leur part, sont calmes et attentifs. Les grands sont souvent les bourreaux des petits, les forçant à faire les corvées imposées par le maitre. Lorsque leurs interventions deviennent trop brutales. Les parents interviennent, contraignant enfin le directeur de changer de poste.

Le rite de Konden Diara constitue la première épreuve de l’initiation des jeunes incirconcis au monde adulte. Le soir de la veille du Ramadan, les enfants à initier sont aillés par une troupe hurlante, et participent tous a une fête communautaire, apès laquelle ils subissent tous la cérémonie des lions dans un lieu sacré de la brousse. Le narrateur confie l’auteur la peur éprouvée lors de cette nuit, peur de l’inconnu, mais aussi des rugissements de lions invisibles aux enfants. A l’aube, l’instruction finie, les enfants découvrent de longs fils blancs couronnant toutes les cases de la concision au somment d’un énorme fromager. Le mystère de l’installation de ces fils aussi bien que la source du rugissement des lions sont révélés par le narrateur, éloigné de son pays natal et peu soucieux des secrets de sa communauté natale.

Préparés par le rite de Konden Diara, les garçons de douze, treize et quatorze ans subissent ensuite la cérémonie de la circonstance épreuve caractérisée par la douleur aussi bien que par la peur. Après une semaine de préparations festives pendant lesquelles les garçons, s’habillent de bonbons conises et de bonnets à pompon, reçoivent des cadeaux et dansent a maintes reprises le coba, danse réservée aux futures circoncis, ceux-ci sont conduits sur une aire circulaire ou l’operateur accomplit sa tâche avec rapidité. S’ensuit une quarantaine de quatre semaines pendant lesquelles les jeunes  gens sont soignés par un guérisseur. Le narrateur reconnait l’importance de la séparation rituelle entre mère et fils et fini par habiter son propre case en face de celle de la case maternelle.

Le récit des adieux à Kouroussa. Le narrateur décrit ses adieux à sa mère, à son père, à ses sœurs. Le départ du jeune homme est marqué par le déchirement et la tristesse du narrateur, qui est accompagné à la gare par ses frères et sœurs, Fanta, et des griots. Le voyage du narrateur, avec une description détaillé des sentiments du narrateur hors de ce voyage. Pendant ce voyage, il passe par Dabola, Mamou et Kindia. arrive à Conakry, capital de la Guinée, le narrateur réside avec son oncle et ses deux femmes. Il raconte les premiers jours d’école aussi bien que sa conversation avec son oncle sur les vertus des différentes écoles et carriers. Malgré ses hésitations, le narrateur reste au Collège Georges Point. Le chapitre se termine par le bilan de sa première année à Conakry.

Lors de sa deuxième année de collège, le narrateur voit régulièrement son nom à la table d’honneur. C’est pendant cette période qu’il rencontre Marie, qui passe ses dimanches chez l’oncle du narrateur. Selon lui, ils partagent une sortie d’amitié profonde, mais le lecteur sent bien que leurs émotions sont plus fortes que celles d’une simple d’amitié. Les tantes du narrateur taquinent les deux jeunes gens parlant de leurs futures fiançailles. Les deux passe beaucoup de temps ensemble, à dansaer, à écouter la musique, à se promener à bicyclette, etc. A la maison, le narrateur attend qu’on le serve, tandis que Marie aide au ménage.

Durant ses années de collège, le narrateur retourne régulièrement à Kouroussa pendant les vacances scolaires. A chaque retour, Il peut appréciait les efforts de sa mère pour rendre sa case plus « européenne » et correspondre à son éducation. Lors de ces visites, le narrateur reçoit ses amis et même de jeunes femmes séduisantes. En fait le narrateur se plaint de la « tyrannie » de sa mère qui surveille le tous ses mouvements, même lorsqu’il dort. A la fin de sa deuxième année le narrateur rentre à Kouroussa et découvre que check est très malade. La mère de celui-ci consulte les guérisseurs, qui recommandent des messages et des tisanes, Kouyaté insiste plutôt que Check aille voir un médecin au dispensaire. Malgré tous les efforts de sa mère et de ses amis, Check meurt en présence de Kouyaté et du narrateur. Celui-ci connait ainsi son premier grand deuil.

Ayant reçu son certificat d’aptitude professionnelle, le narrateur à l’occasion d’aller étudier en France avec l’aide d’une bourse scolaire. La mère du narrateur refuse absolument de considéré cette idées son père y est plus ouvert et encourage son fils à partir pour son propre bien et pour qu’il puisse revenir aider son peuple. La mère finit par comprendre qu’elle ne peut pas empêcher le départ de son fils, mais la tristesse est profonde. Un jour, donc, le narrateur se retrouve dans un avion qui part pour Dakar, ou il laissera Marie qui va y poursuivre ses propres études. De Dakar il prendra un autre avion pour aller à Orly, d’Orly il ira à la gare Saint-Lazare en métro, et finalement à Argenteuil. Le narrateur promet de revenir, mais son dernier geste est de palper le plan de métro de Paris qui gorille sa poche. C. Renaudin & S. Toczyski (www.sonoma.edu: 2/1/2011)

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